Comme ils ont aussi oublié de dire que Peyrelongue ne faisait plus partie de l'effectif.
Et ce soir aurons-nous droit à la présence de Bernard sur le terrain ? On ne sait plus quoi penser à son sujet ! Certains l'annoncent fini pour le rugby, d'autres le voient reprendre en août, d'autres en septembre...
Ci j'en crois cet article Sud Ouest, Dreyer et Peyrelongue sont toujours parmis nous...
Ne vous fiez pas à l'effectif du site off, Bert y est toujours...
Article abonnés Après une intersaison marquée par des problèmes extra-sportifs, les deux clubs retrouvent le terrain
Les vacances ont été studieuses, aussi bien à Dax qu'à Biarritz. Pas pour les joueurs, qui ont eu droit à leurs congés règlementaires, mais pour les dirigeants et le personnel des deux clubs, qui ont dû se dépêtrer de sérieux problèmes, administratifs pour l'USD, et financiers pour le BO. À...
Les vacances ont été studieuses, aussi bien à Dax qu'à Biarritz. Pas pour les joueurs, qui ont eu droit à leurs congés règlementaires, mais pour les dirigeants et le personnel des deux clubs, qui ont dû se dépêtrer de sérieux problèmes, administratifs pour l'USD, et financiers pour le BO.
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À Dax, les vacances avaient pourtant bien commencé, avec un maintien acquis lors de la dernière journée face à Perpignan. Mais quelques jours plus tard, coup de tonnerre : le président Jean-Christophe Goussebaire annonçait sa démission suite à une réunion houleuse du conseil de surveillance du club. L'ex-président avait en effet conditionné la poursuite de sa mission à l'adoption de son projet « Drop 2019 » et à une augmentation de budget de l'ordre de 800 000 euros. Une hausse à laquelle les actionnaires historiques n'ont pu satisfaire, entraînant sa démission et celles des deux autres membres du directoire, Christophe Ponteins et Francis Lavigne, ainsi qu'un chamboulement complet de l'organigramme du club.
Le directoire a ainsi été confié à Philippe Celhay, jusqu'alors président de la section amateur, assisté de Bernard Trémont et Gilbert Ponteins, grand argentier du club depuis de nombreuses années. Philippe Jacquemain, également l'un des principaux bailleurs de fonds de l'USD, a pris en main le conseil de surveillance où de nombreux dirigeants historiques ont fait leur retour.
Côté sportif, les choses ont été beaucoup plus calmes, avec un staff inchangé et seulement sept départs (Bert, Bourret, Albertario, Dumont, Garcia, Derrien, Salle-Canne) pour trois arrivées (Liebenberg, Swanson, Cachet). Une stabilité contrainte et forcée par un budget serré (4,6 millions d'euros).
Stabilité
À Biarritz, les ennuis ont commencé dès le 27 mai, avec l'annonce de la rétrogradation administrative par le conseil supérieur de la DNACG. Le BO a fait appel de cette décision à la mi-juin en assurant avoir apporté les preuves que sa situation financière « sera positive au 30 juin 2016 avec des fonds de réserve suffisants pour répondre à toutes les obligations ».
Il travaillait alors activement à la régularisation de la situation, notamment grâce à un nouvel apport financier de la famille Kampf. Le 6 juin, la commission d'appel de la FFR a relaxé le BO de toutes poursuites et prononcé son maintien en Pro D2. Avec l'objectif, pour l'entraîneur David Darricarrère, d'accrocher les places qualificatives et pourquoi pas de remonter en Top 14 avant un changement de formule qui rendra bien plus difficile l'accession à l'élite.
Suite au départ de Benoît August pour Tyrosse, David Darricarrère a été rejoint pas Frédéric Garcia avec qui avait déjà fait la paire en 2012-2013 du côté de... Dax. Jack Isaac a pour sa part pris le poste de directeur sportif. Côté sportif, les départs de plusieurs figures du club comme Ngwenya, Burotu, Broster, Lund ou Davies, ont été compensés par l'arrivée des Fortassin, Lucu et Roumieu notamment.
Biarritz, comme Dax, comptent sur cette stabilité dans leurs effectifs pour réaliser un départ canon et se mettre rapidement à l'abri. Ce premier match amical ne sera donc pas qu'une simple mise en jambes.