et pourquoi pas faire un évènement public, comme ca a été fait par les biarrots... on invitera Puelotto à l'occasion pour obtenir des réponses

Justement Kek, tu réponds à ma question en fait : l'action via internet à ses limites. C' est génial pour échanger entre supporters mais on ne touche pas tout le monde. D'oú l'intérêt de matérialiser notre mécontentement. Les anciens, ils aiment le papier (distribution de tract au marché, signé pour toutes les assos de sup ?), si tu leurs mets entre les mains nos arguments, si l'asso AllezDax contacte officiellement les autres clubs de sup pour une table ronde et si tu médiatises la chose, tu peux commencer quelque chose de concret qui sortira du cadre virtuel. Et vu comment les gens et les anciens n'ont pas leur langue dans la poche, ca peut créer du débat. Bref, je pense qu'on sous-estime la capacité du supporter dacquois à monter au créneau, et parfois il suffit juste d'un déclic et de leaders, comme le pourrait-être les asso. Qui ne tente rien n'a rien... surtout que cette fois-ci, on n'a vraiment plus rien à perdre.

et pendant ce temps là les montois se structurent un peu plus :

Pro D2 - Mont-de-Marsan accueille son nouveau directeur général
Par Rugbyrama

Benoit Lerat a été nominé au poste de Directeur Général du Stade Montois. Après plusieurs années comme bénévole, ce parisien de naissance a acquis une connaissance du club et de son environnement, lui valant aujourd’hui cette évolution.

Recruter un Directeur Général pour diriger professionnellement le fonctionnement du club : voilà une des propositions qui accompagnait le projet de club présenté par JC Goussebaire au Conseil de surveillance du club il y a trois saisons ... Vous connaissez la réponse des "gardiens du club" et l'algarade qui s'en est suivie ...

Pourtant, si cette proposition avait été entérinée, je suis persuadé (et je l'ai plusieurs fois rappelé sur ce site) que le club ne serait pas aujourd'hui dans cette situation d'abandon et de dérive apparente !!
Les Dirigeants ont préféré répondre que ça coûtait trop cher (Dalton le croît toujours ...) et ont surtout choisi de conserver l'amateurisme et le bénévolat sincère mais dépassé par les exigences du professionnalisme ...

Aujourd'hui, le club n'a plus grand chose d'intéressant et personnellement je m'en détache lentement mais sûrement pour n'éprouver à leur égard que de la colère !!
Ces dirigeants sont tellement désespérants et si peu attentifs à ce qu'essayent de dire leurs clients abonnés, qu'il faut se rendre à l'évidence que "progresser" est un axe de progrès qu'ils ont certainement banni ...

Tout à fait d'accord avec toi Marcos, pour en avoir discuté maintes fois avec un membre du Directoire de l'époque la solution du Directeur Général avait été proposée avec l'homme de la situation, c'était la bonne solution me semble t-il ... mais les "amateurs" du conseil de surveillance n'en ont pas voulu et effectivement des démissions ont suivi.

Evidemment cela aurait eu le coût d'un salaire mais largement compensé par d'avantage de partenariat et de professionnalisme, nous serions sûrement dans une meilleure situation aujourd'hui . Avec un tel raisonnement hostile et si peu ambitieux on peut aussi dire que si l'on n'a plus de joueur ni d'entraîneur les dépenses seront moindres ... c'est ce qui risque d'arriver avec le résultat que l'on devine !

Nous qui avons tellement aimé ce Club nous commençons a être de plus en plus indifférents et lassés du comportement de ces soi-disant dirigeants qui n'en ont que le nom mais peut-être pas les compétences suffisantes.

Vous avez la mémoire courte

Quand JC Goussebaire avait demandé une somme de 7 ou 800 000 € ainsi qu la nomination d'un directeur administratif, il y a eu dans la même semaine ou quinzaine
l'obligation de renflouer les comptes, car à ce moment là, la DNACG avait demandé qu'il soit procédé à une augmentation de capital, pour 500 k€ si mes souvenirs sont exacts, ce qui avait été fait par la remontée au capital des compte courants de certains actionnaires, PONTEINS entre autre, capital qu'il a d'ailleurs offert à l'association de façon à ce qu'elle conserve la majorité je suppose.

Je pense que la demande était inopportune de la part de JCG, qui n'a pas fait preuve de diplomatie puisqu'il a claqué la porte, chose qui ne m'a pas étonné quand on connait
ses pratiques professionnelles

Je lis d'une façon récurrente que l'USD n'est pas rentré dans l'ère du professionnalisme
phrase souvent répétée par BALA et reprise par la presse entre autre

Je ne suis pas d'accord, la tenue budgétaire du club montre que ce sont de vrais professionnels ont pris les choses en main.
Des amateurs se seraient plantés

Peut-être y a t-il incompatibilité entre ce que vous appelez le rugby professionnel tel qu'il se pratique avec des budgets gigantesques et hasardeux et celui que l'on peut pratiquer à DAX avec une gestion rigoureuse sans grand moyen, et qui ne porte que sur l'engagement de ce qu'on a et non pas de ce qu'on peut avoir;

Le récent et ancien Président du BOPB pratiquait un rugby hautement professionnel et casse gueule puisqu'il considérait qu'il suffisait de faire venir des joueurs de renom pour remplir les caisses. On sait ce qu'il en est advenu

Est-cela le professionnalisme ,. Je ne crois pas. C'est une caricature du professionnalisme
telle que FOUROUX avait voulu mettre en place avec la ligue à XIII et qu'i s'est lamentablement cassé la gueule

Les choses sont plus simples que cela. ce que l'USDax a raté, c'est la transition entre
une époque durant laquelle avec marc LIEVREMONT et GIGI PONTEINS nous étions en TOP 14, nous avons participé à 2 finales d'accession et en avons gagné une.

Aprés cela a été la dégringolade avec les présidents PECASTAING, un 2ème dont j'ai oublié le nom avec le passage de ROUMAT et la cerise sur le gâteau avec CELHAY.

La question qu'on peut se poser concerne le rôle du conseil de surveillance dans la gestion sportive du club, car PONTEINS y a toujours été, et on pourrait se demander ce qu'il va nous amener de nouveau.

En vérité, le rôle du conseil de surveillance n'est là que pour surveiller la bonne marche
administrative et financière du club et n'a pas on mot à dire sur le reste
C'est peut être là qu'il y a eu une faille.
C'est la raison pour laquelle ceux que vous appelez les historiques (Je veux parler de BASTIAT, LUX, DOURTHE et j'en passe) n'ont jamais eu leur mot à dire, bien que peut être ils aient eu envie d'intervenir sans en avoir la possibilité légale

Quand si PONTEINS dit qu'il cherche une ouverture en s'entourant de nouvelle génération, c'est peut pour faire face à cette impossibilité de gestion collégiale qui ne peut se faire dans les statuts actuels.

La création de la SAOS USDRUGBY LANDES qui a du être faite sur un modèle donné par la ligue ou la fédération, n'est peut être pas adaptée à une petite structure telle que la notre.

Ce qui nous a manqué, c'est également un dynamisme commercial pour approcher
les sponsors.
Il s'agit bien d'une activité professionnelle mais certainement mal faite par incompétence des personnes à qui on avait convié de telles tâches.

Quant aux relations avec les supporters, cela a toujours été le point faible. C'est un problème de personne

Ceci n'est que mon avis personnel

Oui KEKITO

Je suis d'accord avec toi sur la partie sponsoring et dynamisme commercial totalement absent;

Cette partie là est la plus dure à réaliser dans le cadre d'une entreprise quelle que soit son activité
Dépenser les sous c'est facile. faire du chiffre d'affaire et de la marge c'est un autre problème.

L'USD ne déroge pas à la règle.

Diluer le capital pour permettre à certains d'y rentrer tout en gardant la majorité afin que l'aventure du BOPB ne se renouvelle pas chez nous est possible mais est-ce l'unique solution.

Moi je pense que les 3 dirigeants passés ont montré l'absence de dynamisme en tout domaine

Celui actuel sait faire si l'on se réfère au développement des affaires dont il a eu la charge
à une époque.

A t'il encore la ressource physique et morale de le réalser à nouveau.
Seul je ne pense pas.
En s'entourant je le pense. Faut-il le convaincre que les idées nouvelles ne s'inventent plus seul mais en équipe mais en équipe.

Tout un chantier qui attend l'USD avec ou sans nous

Vous pouvez ressasser le passé comme vous voulez, y aller de vos commentaires d'expert-comptable et autre, chercher les responsables de cette faillite, vous demander si'l aurait pas fallu faire ci ou ça, vous pouvez faire tout ça oui ....

La réalité est là et bien là. Aujourd'hui on est un club amateur !

Concrètement nous en sommes où? Qui seront les entraîneurs si désireux de venir se planter dans ce bourbier? Quels joueurs seront sur le pré dans - de 3 mois ?

J'ai l'impression qu'il n'y a plus de club, que la communication est verrouillée, que tout le monde a quitté le navire, qu'on est même pas prêts à repartir en fédérale 1 !

Ou en sommes-nous? Ce silence est lamentable !

south écrit: écrit:

Ou en sommes-nous? Ce silence est lamentable !

Voilà, on peut dire ce qu'on veut, dans l'immédiat le scandale est là : ce silence est une honte.

Il y a pibale sous caillou Je ne peux pas croire qu'il n'y ait pas une raison à ce silence ( est-lié à des informations qu'ont les dirigeants et des consignes de la Ligue ? ) Par contre, si c'est parce qu'on à rien à dire, pas encore de staff, un budget pas monté, des joueurs pas encore recrutés ... alors là, on est dans la merde

Je rejoins guilhem sur l'hypothèse de ne rien dire à cause des causes des consignes en provenance de la ligue sur un éventuel repêhage

South je ne suis pas expert comptable et cette situation m'insupporte comme à vous tous

De la tête de l’US Dax au Rotary : "Je restais sur un goût d’inachevé"

Jean-Christophe Goussebaire est le président de Daxy’s, le tout nouveau club satellite du Rotary de Dax, composé de membres plus jeunes… dans le but d’aider les jeunes.

« La moyenne d’âge de nos membres est de 67 ans. On vieillit, quand même…, constate Patrick Pelletier, adjoint du gouverneur du Rotary international. Alors on s’est dit qu’il nous faudrait faire rentrer des jeunes. Le problème, c’est que vous avez 34 personnes un peu âgées et que, si vous faites entrer un jeune tout seul, il va s’embêter au Rotary. »

Un problème qui n’en est pas vraiment un, en réalité. Puisque depuis 2013, les statuts du Rotary permettent la création de clubs satellites. C’est-à-dire rattachés au club parrain. En l’occurrence, ici, le Rotary club Dax-Côte d’Argent. « L’avantage, pour les jeunes, c’est qu’ils sont autonomes. C’est-à-dire qu’ils se réunissent où ils veulent. Ça peut être dans un café. Et autant de fois qu’ils le souhaitent. Alors que nous, c’est quatre fois par mois. Ils ne sont pas tenus à nos repas statutaires. Ils ont une grande liberté d’action. Et des actions différentes des nôtres. Mais on est complémentaires. Ils n’ont ni la lourdeur de nos réunions, ni de notre budget. Leur cotisation est bien moindre. Ils ont un président et un secrétaire, donc ils se gèrent », détaille Patrick Pelletier.

Le président de Daxy’s (c’est le nom du club satellite), justement, est bien connu des Dacquois. Puisqu’il a été à la tête de l’USD, pendant un an. « C’était le bon moment pour moi. J’étais disponible et j’avais envie de m’impliquer. En plus, ça me permet de me relancer. Je restais sur un goût d’inachevé, explique Jean-Christophe Goussebaire. Et le Rotary correspond tout à fait à ce que j’aime faire. Une des grandes forces du club, c’est de ne rien demander, mais d’apporter beaucoup. »
Neuf membres

« Patrick (Pelletier, NDLR), ainsi qu’un ami à lui, m’ont, depuis un an, invité à plusieurs reprises au Rotary, à des conférences. J’y suis allé, avec plaisir. J’y suis revenu. Mais il est arrivé un moment où je n’y trouvais pas forcément ma place, explique Sébastien Vivé, le secrétaire de Daxy’s. J’étais un petit peu décalé en âge. J’en ai fait part à Patrick et à d’autres personnes. Leur expliquant que l’idée du club lui-même – de servir, d’aider – me plaisait. Mais que si je venais avec mes idées de quelqu’un de 43 ans, elles ne seraient peut-être pas les mêmes que celles de quelqu’un de 75 ans. Patrick a réfléchi et m’a dit “écoute, ce qui serait pas mal, c’est que vous trouviez quelques collègues à vous, et on pourra créer un club satellite”. Là, je lui ai dit “tu m’intéresses”. Puis, on a commencé à creuser. » Et à recruter des membres.

Daxy’s en compte aujourd’hui neuf (1) : un agent immobilier, un agriculteur, un ingénieur, un diamantaire, un ostéopathe, etc. Ils se sont réunis deux fois jusqu’ici. « On a beaucoup d’idées, fait savoir Sébastien Vivé. À la différence du Rotary, qui agit sur la maladie ou l’accompagnement des personnes âgées, nous, notre objectif – ça a été assez unanime -, c’est d’accompagner des projets innovants portés par des jeunes. » « Que ce soit des artisans, des informaticiens, etc. », précise Jean-Christophe Goussebaire.

Sébastien Vivé de poursuivre : « Ces derniers, j’ai l’impression, ont beaucoup de projets mais, malheureusement, faute de moyens, ont du mal à les concrétiser. » Et de préciser : « On s’est rapprochés de l’In’Tech. On a rendez-vous vendredi, pour un premier contact. »
Rapprochement avec l’In’Tech

« On voudrait aider ces jeunes informaticiens, futurs chefs d’entreprise, futurs développeurs de projets. Les accompagner, reprend Jean-Christophe Goussebaire. L’idée, c’est donc de voir comment fonctionne l’In’Tech, savoir s’il y a des projets en pleine maturation, qui ont besoin d’un coup de pouce financier. »

Pour financer leurs actions, les membres de Daxy’s devront récolter des fonds. « C’est-à-dire organiser des vide-greniers, des spectacles, énumère Sébastien Vivé. Nous, l’idée que l’on a, qui est en train de germer, est d’organiser une soirée, à la fin de l’année, de style dîner-débat-conférence, avec des intervenants de qualité. » « On a deux, trois pistes très intéressantes. Des gens qui ne sont jamais venus à Dax et qui ne sont pas que du rugby », lâche Jean-Christophe Goussebaire, sans en dévoiler davantage.

Autre force des clubs satellites : ils servent de passerelle. « Aujourd’hui, j’ai 43 ans, souligne Sébastien Vivé. Mais dans dix ans, j’en aurai 53, et dans vingt, 63… Donc, l’idée est de basculer dans le Rotary, à un moment donné, tandis que des jeunes rentreront à Daxy’s. » Dans les Landes, un club satellite a été créé à Morcenx, il y a peu, et un autre est en projet à Saint-Vincent-de-Tyrosse. Le Rotary, créé en 1905 à l’international et en 1937 à Dax, semble avoir encore de beaux jours devant lui.

le bougnat écrit: écrit:

De la tête de l’US Dax au Rotary : "Je restais sur un goût d’inachevé"

Jean-Christophe Goussebaire est le président de Daxy’s, le tout nouveau club satellite du Rotary de Dax, composé de membres plus jeunes… dans le but d’aider les jeunes.

« La moyenne d’âge de nos membres est de 67 ans. On vieillit, quand même…, constate Patrick Pelletier, adjoint du gouverneur du Rotary international. Alors on s’est dit qu’il nous faudrait faire rentrer des jeunes. Le problème, c’est que vous avez 34 personnes un peu âgées et que, si vous faites entrer un jeune tout seul, il va s’embêter au Rotary. »

Un problème qui n’en est pas vraiment un, en réalité. Puisque depuis 2013, les statuts du Rotary permettent la création de clubs satellites. C’est-à-dire rattachés au club parrain. En l’occurrence, ici, le Rotary club Dax-Côte d’Argent. « L’avantage, pour les jeunes, c’est qu’ils sont autonomes. C’est-à-dire qu’ils se réunissent où ils veulent. Ça peut être dans un café. Et autant de fois qu’ils le souhaitent. Alors que nous, c’est quatre fois par mois. Ils ne sont pas tenus à nos repas statutaires. Ils ont une grande liberté d’action. Et des actions différentes des nôtres. Mais on est complémentaires. Ils n’ont ni la lourdeur de nos réunions, ni de notre budget. Leur cotisation est bien moindre. Ils ont un président et un secrétaire, donc ils se gèrent », détaille Patrick Pelletier.

Le président de Daxy’s (c’est le nom du club satellite), justement, est bien connu des Dacquois. Puisqu’il a été à la tête de l’USD, pendant un an. « C’était le bon moment pour moi. J’étais disponible et j’avais envie de m’impliquer. En plus, ça me permet de me relancer. Je restais sur un goût d’inachevé, explique Jean-Christophe Goussebaire. Et le Rotary correspond tout à fait à ce que j’aime faire. Une des grandes forces du club, c’est de ne rien demander, mais d’apporter beaucoup. »
Neuf membres

« Patrick (Pelletier, NDLR), ainsi qu’un ami à lui, m’ont, depuis un an, invité à plusieurs reprises au Rotary, à des conférences. J’y suis allé, avec plaisir. J’y suis revenu. Mais il est arrivé un moment où je n’y trouvais pas forcément ma place, explique Sébastien Vivé, le secrétaire de Daxy’s. J’étais un petit peu décalé en âge. J’en ai fait part à Patrick et à d’autres personnes. Leur expliquant que l’idée du club lui-même – de servir, d’aider – me plaisait. Mais que si je venais avec mes idées de quelqu’un de 43 ans, elles ne seraient peut-être pas les mêmes que celles de quelqu’un de 75 ans. Patrick a réfléchi et m’a dit “écoute, ce qui serait pas mal, c’est que vous trouviez quelques collègues à vous, et on pourra créer un club satellite”. Là, je lui ai dit “tu m’intéresses”. Puis, on a commencé à creuser. » Et à recruter des membres.

Daxy’s en compte aujourd’hui neuf (1) : un agent immobilier, un agriculteur, un ingénieur, un diamantaire, un ostéopathe, etc. Ils se sont réunis deux fois jusqu’ici. « On a beaucoup d’idées, fait savoir Sébastien Vivé. À la différence du Rotary, qui agit sur la maladie ou l’accompagnement des personnes âgées, nous, notre objectif – ça a été assez unanime -, c’est d’accompagner des projets innovants portés par des jeunes. » « Que ce soit des artisans, des informaticiens, etc. », précise Jean-Christophe Goussebaire.

Sébastien Vivé de poursuivre : « Ces derniers, j’ai l’impression, ont beaucoup de projets mais, malheureusement, faute de moyens, ont du mal à les concrétiser. » Et de préciser : « On s’est rapprochés de l’In’Tech. On a rendez-vous vendredi, pour un premier contact. »
Rapprochement avec l’In’Tech

« On voudrait aider ces jeunes informaticiens, futurs chefs d’entreprise, futurs développeurs de projets. Les accompagner, reprend Jean-Christophe Goussebaire. L’idée, c’est donc de voir comment fonctionne l’In’Tech, savoir s’il y a des projets en pleine maturation, qui ont besoin d’un coup de pouce financier. »

Pour financer leurs actions, les membres de Daxy’s devront récolter des fonds. « C’est-à-dire organiser des vide-greniers, des spectacles, énumère Sébastien Vivé. Nous, l’idée que l’on a, qui est en train de germer, est d’organiser une soirée, à la fin de l’année, de style dîner-débat-conférence, avec des intervenants de qualité. » « On a deux, trois pistes très intéressantes. Des gens qui ne sont jamais venus à Dax et qui ne sont pas que du rugby », lâche Jean-Christophe Goussebaire, sans en dévoiler davantage.

Autre force des clubs satellites : ils servent de passerelle. « Aujourd’hui, j’ai 43 ans, souligne Sébastien Vivé. Mais dans dix ans, j’en aurai 53, et dans vingt, 63… Donc, l’idée est de basculer dans le Rotary, à un moment donné, tandis que des jeunes rentreront à Daxy’s. » Dans les Landes, un club satellite a été créé à Morcenx, il y a peu, et un autre est en projet à Saint-Vincent-de-Tyrosse. Le Rotary, créé en 1905 à l’international et en 1937 à Dax, semble avoir encore de beaux jours devant lui.

donc si j'ai bien tout compris, le Rotary va prendre en charge nos dirigeants historiques et JGD et ses nouveaux potes s'occuperont de notre nouvelle équipe avant de devenir membre du Rotary ... chez nous , à Dax

ça mériterait un petit edito bien sanglant tout ça.
Pour les naïfs qui croient que l'on nous demande le silence , le BOPB communique lui en annonçant la signature d'un de nos espoirs par exemple. Si le club n'a même pas la capacité de garder des mecs comme ça , c'est la fin de tout.
Seule une future liquidation justifierait un tel mutisme . tout autre cause serait une injure de plus, les entraineurs , c'était bien cette semaine ? Puisque Ponteins a quatre appels par jouir , ce devrait être bouclé non ? On est à 4 joueurs , 0 entraineur. Aucun sponsor ne peut suivre , sauf à confier à des tocards des sous à fonds perdus.
Je suis très pessimiste. mais finalement pas triste.
le nom de ces tristes sires sera associé à la mort du club, un bon point pour la mémoire locale.

Tu as raison Bruno, il est honteux de voir notre club de coeur se vider chaque semaine de ses joueurs y compris ceux du pôle Espoirs, alors que les déclarations du Président Gigi et de B. August son conseiller affirmaient s'appuyer sur la formation pour ressourcer l'équipe ...

Mais que font-ils depuis leurs nominations ? Leur apparent immobilisme fait fuir forcément les joueurs et effectivement ne donne que des signes négatifs sur la reconstruction du club !!
Leur silence est mortifère pour tout ceux qui s'intéresseraient encore à l'avenir du club !

Quand je repense aux glorieux anciens joueurs qui rappelaient il y a quelques mois la valeur morale et affective de leurs dirigeants, ou encore les propos de justification assénés par JL Bérot sur son souci de protéger le club, quelle faillite aujourd'hui !!

J'en connais qui vont être heureux... IL aurait reçu sa lettre....

et voilà un projet structuré qui pourrait faire de l'ombre !

La ville peut-elle devenir une capitale du basket ?

À nouveau
comblé sur le plan
sportif cette saison,
Dax Gamarde Basket
a besoin de moyens
pour franchir un
nouveau cap

Mine de rien, sans faire trop
de bruit – du moins
dans l’agglomération dacquoise
–, le DGB est devenu ces dernières
années le club phare du basket
masculin landais. Pas un mince
exploit, quand on songe à la concurrence
féroce qui sévit aux alentours,
avec pas moins de deux clubs
en Nationale 2 l’an prochain et sept
en Nationale 3. Et pourtant, le DGB
assoit son hégémonie sans précédent
sur le basket masculin landais
avec trois doublés Coupe des Landes-
Super Coupe « Sud Ouest » d’affilée,
tout en finissant à nouveau
aux portes des play-off en Nationale
2. « Il y a un peu de frustration
par rapport au championnat, où
nous sommes restés deuxièmes
jusqu’à quelques journées de la fin,
rappelle le coach, Denis Mettay, revenu
au club en 2015, après y avoir
officié de 2009 à 2012. Mais sincèrement,
je ne vois pas ce qu’on peut
faire de plus. »
Besoin de salle
C’est bien le revers des trop nombreuses
médailles conquises par le
DGB : invaincu dans les Landes depuis
trois ans, il « commence aussi
à lasser les autres clubs landais,
avoue Denis Mettay. On doit désormais
viser plus haut pour ne pas
nous démotiver. » L’objectif est
donc clair pour la saison prochaine
: la montée en Nationale 1.
Mais pour cela, il faut des moyens :
« Entre 700 000 et 800 000 euros
pour bien vivre en Nationale 1, estime
le président, Jean Lamaignère.
Avec le double, vous êtes en Pro B
et avec 3 millions, en Pro A. Or la
Pro A, c’est 4 000 à 5 000 spectateurs
de moyenne par match… »
Pour l’instant, le DGB fait déjà des
miracles en Nationale 2 avec un
budget compris entre 250 000 et
300 000 euros l’an prochain. En
termes de subventions publiques, la
Ville de Dax verse 20 000 euros,
l’Agglomération du Grand Dax
15 000 euros, la mairie de Gamarde
10 000 euros et le Conseil départemental,
7 200 euros. Une paille par
rapport aux adversaires
du
DGB et à la
place qu’occupe
désormais
le club dans le
paysage du
sport landais.
« Avec ça, c’est
très compliqué
de franchir un
niveau supplémentaire,
estime Jean Lamaignère.
Je comprends les réticences, mais
j’ai aussi l’impression que certains
ne sont pas encore prêts à voir ou
à entendre ce qu’il se passe avec le
basket à Dax. » Car les structures du
club sont loin d’être à la hauteur
des bons résultats et du public toujours
plus fidèle. « Aujourd’hui,
nous partageons notre salle de
Maurice-Boyau avec les scolaires et
d’autres clubs, poursuit Jean Lamaignère.
Nos joueurs doivent s’entraîner
après 20 heures… Nous avons
aussi besoin de structures qui nous
permettent d’accueillir nos partenaires
et de faire du business. »
« Pourquoi Dax ne se lance pas
dans la construction d’une salle à
double usage, pour les sports d’intérieur
et les spectacles ? s’interroge
pour sa part le coach, Denis Mettay.
Celle construite à Boulazac a été
remboursée en sept ans à peine et
cela a permis de booster la vie sportive
et culturelle. »
Identité landaise
D’autant que le public suivrait, Jean
Lamaignère en est convaincu.
« L’Élan Béarnais, Basket Landes, Denek
Bat Urcuit… Tous ont bâti une
partie de leur succès sur le public
chalossais. Pourquoi celui-ci irait
voir du basket de haut niveau à Pau,
à Mont-de-Marsan ou à Bayonne, et
pas à Dax ? Je suis persuadé qu’avec
une équipe en Nationale 1, on ferait
salle comble à tous les matchs. »
Pour mettre toutes les chances de
son côté, le DGB recrute local. Après
Gauthier Darrigand, c’est Florian
Lesca, natif de Dax et formé à l’Élan
Béarnais, qui revient au pays pour
cette nouvelle saison. « Il y a de
nombreux joueurs landais en N1,
poursuit Denis Mettay. Si on leur
propose un projet ambitieux et des
équipements adéquats, ils viendront.
Garder cette identité, c’est
aussi ce qui permet de motiver les
collectivités et les partenaires autour
du projet. C’est également à
nous de mieux nous intégrer dans
la ville, de montrer qu’on est là et
qu’on peut faire des choses. Par
exemple, pour l’inauguration du
City stade de Cuyès, mercredi prochain,
personne n’a pensé à nous
inviter… »
Preuve du chemin qu’il reste encore
à parcourir pour se faire connaître
auprès des décideurs et du
public. « Je me bats depuis des années
pour un club de haut niveau
à Dax, conclut Jean Lamaignère.
Tous les ingrédients sont là. » La finale
de la Coupe des Landes, qui se
jouera l’an prochain dans les arènes
de Dax, pourrait servir de déclic.
Et selon toute logique, le DGB devrait
encore être au rendez-vous…

Depuis le temps que je dis que le DGB est le futur...
La ville devrait investir là-dedans plutôt que dans le rugby, et faire cette salle plutôt que le stade. Quand tu vois les différences de projets et que eux se battent avec quelques sous... En plus avec moins d'argent en basket on peut viser le monde pro, et les Landes s'y prètent. Les jeunes de l'ADB, qui a un contrat avec le DGB vont depuis 2 ans en final four du championnat de France. Il est temps de les aider ! Peut-être que si le basket dacquois monte en puissance ca fera bouger les molusques du rugby !

En plus des 2 ex pros qui reviennent au pays, on peut parler de Benjamin Liferman issu de la filière locale d'ADB, de Candresse notamment. Tout ça fait plaisir au bougnat

le bougnat écrit: écrit:

le bougnat écrit: écrit:

De la tête de l’US Dax au Rotary : "Je restais sur un goût d’inachevé"

Jean-Christophe Goussebaire est le président de Daxy’s, le tout nouveau club satellite du Rotary de Dax, composé de membres plus jeunes… dans le but d’aider les jeunes.

« La moyenne d’âge de nos membres est de 67 ans. On vieillit, quand même…, constate Patrick Pelletier, adjoint du gouverneur du Rotary international. Alors on s’est dit qu’il nous faudrait faire rentrer des jeunes. Le problème, c’est que vous avez 34 personnes un peu âgées et que, si vous faites entrer un jeune tout seul, il va s’embêter au Rotary. »

Un problème qui n’en est pas vraiment un, en réalité. Puisque depuis 2013, les statuts du Rotary permettent la création de clubs satellites. C’est-à-dire rattachés au club parrain. En l’occurrence, ici, le Rotary club Dax-Côte d’Argent. « L’avantage, pour les jeunes, c’est qu’ils sont autonomes. C’est-à-dire qu’ils se réunissent où ils veulent. Ça peut être dans un café. Et autant de fois qu’ils le souhaitent. Alors que nous, c’est quatre fois par mois. Ils ne sont pas tenus à nos repas statutaires. Ils ont une grande liberté d’action. Et des actions différentes des nôtres. Mais on est complémentaires. Ils n’ont ni la lourdeur de nos réunions, ni de notre budget. Leur cotisation est bien moindre. Ils ont un président et un secrétaire, donc ils se gèrent », détaille Patrick Pelletier.

Le président de Daxy’s (c’est le nom du club satellite), justement, est bien connu des Dacquois. Puisqu’il a été à la tête de l’USD, pendant un an. « C’était le bon moment pour moi. J’étais disponible et j’avais envie de m’impliquer. En plus, ça me permet de me relancer. Je restais sur un goût d’inachevé, explique Jean-Christophe Goussebaire. Et le Rotary correspond tout à fait à ce que j’aime faire. Une des grandes forces du club, c’est de ne rien demander, mais d’apporter beaucoup. »
Neuf membres

« Patrick (Pelletier, NDLR), ainsi qu’un ami à lui, m’ont, depuis un an, invité à plusieurs reprises au Rotary, à des conférences. J’y suis allé, avec plaisir. J’y suis revenu. Mais il est arrivé un moment où je n’y trouvais pas forcément ma place, explique Sébastien Vivé, le secrétaire de Daxy’s. J’étais un petit peu décalé en âge. J’en ai fait part à Patrick et à d’autres personnes. Leur expliquant que l’idée du club lui-même – de servir, d’aider – me plaisait. Mais que si je venais avec mes idées de quelqu’un de 43 ans, elles ne seraient peut-être pas les mêmes que celles de quelqu’un de 75 ans. Patrick a réfléchi et m’a dit “écoute, ce qui serait pas mal, c’est que vous trouviez quelques collègues à vous, et on pourra créer un club satellite”. Là, je lui ai dit “tu m’intéresses”. Puis, on a commencé à creuser. » Et à recruter des membres.

Daxy’s en compte aujourd’hui neuf (1) : un agent immobilier, un agriculteur, un ingénieur, un diamantaire, un ostéopathe, etc. Ils se sont réunis deux fois jusqu’ici. « On a beaucoup d’idées, fait savoir Sébastien Vivé. À la différence du Rotary, qui agit sur la maladie ou l’accompagnement des personnes âgées, nous, notre objectif – ça a été assez unanime -, c’est d’accompagner des projets innovants portés par des jeunes. » « Que ce soit des artisans, des informaticiens, etc. », précise Jean-Christophe Goussebaire.

Sébastien Vivé de poursuivre : « Ces derniers, j’ai l’impression, ont beaucoup de projets mais, malheureusement, faute de moyens, ont du mal à les concrétiser. » Et de préciser : « On s’est rapprochés de l’In’Tech. On a rendez-vous vendredi, pour un premier contact. »
Rapprochement avec l’In’Tech

« On voudrait aider ces jeunes informaticiens, futurs chefs d’entreprise, futurs développeurs de projets. Les accompagner, reprend Jean-Christophe Goussebaire. L’idée, c’est donc de voir comment fonctionne l’In’Tech, savoir s’il y a des projets en pleine maturation, qui ont besoin d’un coup de pouce financier. »

Pour financer leurs actions, les membres de Daxy’s devront récolter des fonds. « C’est-à-dire organiser des vide-greniers, des spectacles, énumère Sébastien Vivé. Nous, l’idée que l’on a, qui est en train de germer, est d’organiser une soirée, à la fin de l’année, de style dîner-débat-conférence, avec des intervenants de qualité. » « On a deux, trois pistes très intéressantes. Des gens qui ne sont jamais venus à Dax et qui ne sont pas que du rugby », lâche Jean-Christophe Goussebaire, sans en dévoiler davantage.

Autre force des clubs satellites : ils servent de passerelle. « Aujourd’hui, j’ai 43 ans, souligne Sébastien Vivé. Mais dans dix ans, j’en aurai 53, et dans vingt, 63… Donc, l’idée est de basculer dans le Rotary, à un moment donné, tandis que des jeunes rentreront à Daxy’s. » Dans les Landes, un club satellite a été créé à Morcenx, il y a peu, et un autre est en projet à Saint-Vincent-de-Tyrosse. Le Rotary, créé en 1905 à l’international et en 1937 à Dax, semble avoir encore de beaux jours devant lui.

donc si j'ai bien tout compris, le Rotary va prendre en charge nos dirigeants historiques et JGD et ses nouveaux potes s'occuperont de notre nouvelle équipe avant de devenir membre du Rotary ... chez nous , à Dax

Pour Marcos, puisque tu me cites par ailleurs, je ne résiste pas au plaisir d'aller dans ton sens... je ne commenterais donc pas ce que j'ai cité en rouge, mais je trouve fort plaisant ce discours... ce que j'aime faire...ne rien demander et apporter beaucoup !