dacquois écrit: écrit:

*

Tout ce qui est dit dans cet article est tout à fait juste (il faut dire que Laurent Travini connaît bien le club), il n'empêche qu'on ne doit pas avoir la même définition de "bilan à mi-saison" !

il serait bon que l'ancien président ainsi que toutes les personne qui craignaient la concurrence du groupe Accor s'expliquent

Ne penses-tu pas que le passage éphémère et d'échec commercial finalement d'Accor à Dax donnerait raison à ceux qui ne les auraient pas accepté ? ...

Il est sûr que les Dirigeants d'alors n'ont pas cru au rugby professionnel alors que la Fédération décidait sa mise en place puis n'ont pas su "vendre" à des investisseurs la place forte que représentait l'équipe de l'USD à ce moment là ...

S'ils avaient été sponsors de l'USD, ils se seraient surement investis plus dans la ville.. ils avaient signé un contrat avec cette dernière ... l'échec du sponsoring qui devait faire partie de leur politique commerciale les a amené à partir en cherchant la petite bête... on ne saaura jamais... et pour le thermalisme, et pour notre club...
Dans le chapitre des sponsors qui envisageaient le club, il y a eu celui qui a fait la fortune sportive d'un voisin à la même couleur...

marcos écrit: écrit:

Ne penses-tu pas que le passage éphémère et d'échec commercial finalement d'Accor à Dax donnerait raison à ceux qui ne les auraient pas accepté ? ...

Il est sûr que les Dirigeants d'alors n'ont pas cru au rugby professionnel alors que la Fédération décidait sa mise en place puis n'ont pas su "vendre" à des investisseurs la place forte que représentait l'équipe de l'USD à ce moment là ...

si je comprends bien nos dirigeants de l'époque ne craignaient aucunement la concurrence du Groupe Accor . IL SAVAIENT avant même la fin du premier exercice que ce groupe ne tiendrait pas . Et bien moi je dis Chapeau messieurs ils ont un don de voyance et ils savent où ils nous amènent

Je n'ai fait qu'imaginer ce que les Dirigeants pouvaient très facilement répondre à ceux qui, aujourd'hui, leur reprocherait de ne pas avoir à l'époque favorisé le partenariat USD - Groupe ACCOR ...

D'autre part, personne n'aurait pu imaginer que ce groupe, dominant dans le monde de l'hôtellerie, connaîtrait de telles difficultés d'exploitation avec le splendid ...

US Dax : le retour d’August

Pour l’USD, reprise du championnat rime avec retour des blessés. L’occasion d’aborder avec le troisième ligne, Olivier August, son absence et la deuxième partie de championnat.
Après quinze jours de trêve, les joueurs retrouvent le chemin des terrains. Et quoi de plus palpitant que débuter par un derby basco-landais ? L’US Dax se déplace chez le voisin biarrot. Deux clubs dans une dynamique différente. Les Dacquois restent sur une victoire en sept matchs, alors que Biarritz a un ratio de trois succès sur quatre rencontres.

Mais au rugby, rien n’est fait d’avance. Côté dacquois, le retour de certains blessés (lire l’encadré) dans le groupe va relancer la concurrence et pousser à la performance. Olivier August fait partie de ces « revenants », après une blessure qui l’a éloigné des pelouses et du groupe. Avec son œil observateur et son expérience, il dresse le bilan de la première partie de saison et les ambitions pour la deuxième. Sans oublier de revenir sur ses trois mois d’absence.

« Sud Ouest » Comment avez-vous vécu cette première partie de saison tendue ?

Olivier August Difficilement. C’est toujours compliqué de regarder ces coéquipiers sur le terrain quand on est blessé, surtout avec cette fin de première partie de saison qu’on a fait, avec sept matchs et une seule victoire. On a envie d’être sur le terrain pour les aider.

Justement, où en est votre blessure ?
J’ai eu une inflammation du genou mal soignée, qui s’est transformée en infection. J’en ai souffert avant, pendant et après. Durant près de deux mois, je ne suis pas du tout allé au stade. Cela a été très difficile, tant sur le plan physique que sur le plan moral. Tu as moins envie de voir les gens, de sortir. Surtout, cela m’a écarté du groupe. Mais maintenant, je suis apte à jouer. J’ai repris le 2 janvier (mardi, NDLR), selon l’objectif fixé. Cela faisait déjà trois mois que j’étais éloigné des terrains et un mois que je m’entraînais seul, que je faisais de la réathlétisation. Je pense d’abord reprendre l’entraînement avec un peu de contact, avant d’espérer retrouver les terrains. Pour Biarritz, c’est trop tôt…

Avant Biarritz, revenons un peu sur ce début de saison tonitruant. Comment l’expliquez-vous ?
Les bons résultats du début de saison sont dus au peu d’évolution de l’effectif. Les acquis et les affinités sont restés. On a eu moins de temps pour s’adapter. On a de suite retrouvé nos automatismes de l’an dernier. Et puis après, on a joué de malchance, avec ces blessures à répétition. La dégringolade au classement s’en est suivie…
Pour vous, les blessures sont donc l’un des facteurs explicatifs du passage de la 4e à la 12e place ?
Oui, cela explique très certainement cette chute au classement. Certains joueurs ont dû enchaîner les matchs, ce qui a créé de la fatigue physique. Il y avait moins de rotations possibles. Ces blessures ont eu un point positif, celui de lancer des jeunes joueurs, comme Pierre Huguet.

L’élan apporté par ces Espoirs semble avoir fait du bien au groupe…
Tout à fait. Ils amènent un peu de folie, d’insouciance. On a besoin des jeunes, parce qu’ils font partie intégrante de l’effectif. Dans les matchs précédents et dans les entrées qu’ils ont faites – lors de matchs compliqués et tendus – ils nous ont montré qu’ils sont capables d’évoluer en équipe première. Leur présence crée une concurrence saine, tire le groupe vers le haut et pousse à la performance. Le retour des blessés aussi.

Certains sont de retour contre les Biarrots. Quels sont les enjeux et les clés du match ?
Ce match va donner le ton de cette deuxième partie de saison. Il est important pour la suite. Tout va se jouer devant. On sait que Biarritz est une équipe qui aime jouer dans l’affrontement direct. Si on ne répond pas présent dans ce domaine-là, ça sera très difficile d’espérer quelque chose. Surtout qu’ils seront revanchards par rapport à la physionomie du jeu et le score (match aller, 41–16). Je connais bien les entraîneurs, ils auront à cœur de faire un gros match à domicile. À nous de ramener la victoire pour se rassurer pour la suite et notamment pour le match de Colomiers, la semaine prochaine. Le groupe est prêt pour un gros combat, demain.

Après, vous allez enchaîner avec deux rencontres à domicile. Est-ce l’objectif, en cette deuxième partie de championnat ?
Notre objectif principal est d’oublier les défaites subies par le passé. On n’a plus le choix ! Il faut absolument redevenir intraitables à domicile pour s’assurer le maintien. Les équipes vont venir pour gagner avec plus de sérénité et de confiance. C’est notre faute ! Après avoir placé la barre très haut contre Oyonnax, Aurillac et Perpignan, notre niveau a baissé en milieu de championnat. On a subi trop de défaites (neuf en 15 rencontres). À nous maintenant de redoubler d’efforts pour que ce soit très difficile pour chaque équipe qui viendra à Maurice-Boyau.

Dans S.O. du jour
Rugby : reprise dans le vif pour l’US Dax

À l’aller, les Dacquois avaient dominé outrageusement les Biarrots (41–16). Ce match de reprise promet un bel affrontement entre deux équipes proches au classement et revanchardes.
jeudi matin, un froid polaire couvrait les terrains de Colette-Besson. Pour réchauffer leurs organismes en douceur, les joueurs font quelques jeux ballons en main par petits groupes. Des rires se font entendre. La bonne humeur se ressent. Une franche camaraderie régne avant que les muscles ne se mettent complètement en marche. Et dès que les combinaisons commencent à s’enchaîner, le sérieux reprend ses droits. L’amusement laisse place à une grande communication, qui résonne dans le vide du stade.

Le groupe dacquois vit bien ensemble. Un groupe qui entame cette deuxième partie de Pro D2, l’esprit conquérantt. « On débute un nouveau championnat. On repart à zéro et tout le monde est sur le pont », constate Jérôme Daret. Au programme sept matchs à domicile et huit à l’extérieur. Le premier bloc, avec trois rencontres à Maurice Boyau, peut totalement relancer les rouge et blanc. Les aider à retrouver une dynamique ascendante.

Impatients de reprendre
Charlie Ternisien et Julien Dechavanne attendent ce match « charnière » contre le Biarritz Olympique. Le XV de départ aussi. « On aborde la rencontre avec beaucoup d’impatience même si on sait que cela va être compliqué. Biarritz crée du beau jeu avec notamment le centre fidjien Adriu Delai », explique l’ailier dacquois. « Ils vont nous attendre après le match aller (victoire de Dax, 41–16, NDLR). On doit bien commencer ce bloc, ramener des points, s’accrocher sur tout. La conquête sera l’une des clefs », ajoute de son côté l’expérimenté troisième ligne. S’appuyer sur les bases pour avancer. Sur la précision du jeu et le retour des blessés de longue date aussi.

Match après match
Certes, la rencontre basco-landaise peut permettre de ramener des points précieux. Mais les Dacquois préfèrent appréhender chaque match l’un après l’autre et se concentrer sur eux. « Un match reste un match. Le début de la phase retour sera déterminant. À nous de performer pour retrouver de la confiance et prouver à nouveau notre capacité à gagner des matchs à l’extérieur et à domicile », déclare Jérôme Daret. Le ton est donné.
À n’en pas douter, ce Biarritz-Dax tiendra toutes ses promesses, entre deux équipes revanchardes. Les Basques pour avoir pris 41 points du match aller. Les Landais pour montrer aux quinze clubs de Pro D2 que leur série de six défaites consécutives appartient au passé. Qu’une autre dynamique est en marche.

petite question à FRANCIS notre correspondant local du journal Sud-Ouest :

peux tu nous mettre en ligne l'article consacré à KOLIAVU paru sur S-O ?

merci d'avance.

Voilà Tchou 40

US Dax : voici la famille Koliavu !

La saison dernière, Aisea Koliavu a connu une saison galère avec sa blessure au bras. Le troisième ligne revient plus fort mentalement et sûr de ses forces. Sa progression doit se confirmer

Dans la vie, Aisea Koliavu préfère s’exprimer dans la langue de Shakespeare. « Sur le terrain, c’est plus facile de parler français car on utilise des termes répétitifs ».

Né en Nouvelle-Zélande d’un père fidjien et d’une mère « moitié fidjienne, moitié tonguienne », le troisième ligne de l’US Dax grandit avec ses quatre frères et deux cousins « dans une petite maison ». À l’instar des Tuilagi, toute la fratrie joue au rugby. « Tous mes frères sont des joueurs très talentueux. Comme je suis le plus jeune (26 ans), je les regarde et j’apprends d’eux. On a des compétences différentes. Mon troisième frère est le plus rapide et le plus fort. Il ressemble à Saki (Sakiusa Bureitakiyaca) ! », avoue-t-il.
Lui a commencé le rugby à 5 ans, s’est testé à 13 avant de se tourner vers le rugby à 15. Sa saison 2014–2015 à Melbourne lui permet d’être repéré : « Si je suis venu ici, c’est grâce à Raphaël Saint-André. Je n’avais pas d’agent. Raphaël a donc parlé à James Lakepa qui a contacté mon coach ». L’aventure hexagonale peut enfin commencer.

« Une grande opportunité »
« On voit beaucoup de All Blacks, de joueurs connus venir jouer en France donc on en rêve. C’est toujours un honneur de les affronter en Pro D2. Jouer au rugby en France est une grande opportunité pour moi et ma famille ». Son rêve devient peu à peu réalité.
L’an dernier, Koliavu n’a pu exprimer son talent à cause d’un bras cassé : « Cette blessure m’a coupé dans son élan. J’étais en train de progresser. Me casser le bras fut un cauchemar. Comme je suis un fervent croyant, je pense que tout arrive pour une raison. J’ai donc pris du temps pour travailler mon mental. Je me sens plus sûr de moi cette année, et plus fort », estime celui qui ambitionne d’atteindre le Top 14 et de connaître des sélections avec le Fidji « pour rendre ses parents fiers ».

Cette saison, il retrouve progressivement sa place sur le terrain. Il se sent bien à Dax, « un endroit parfait pour jouer au rugby ». La ville lui évoque celle où il habitait en Nouvelle-Zélande, son pays, « sa maison ». Il croit en l’équipe, en ses coéquipiers. « Je parle beaucoup sur le terrain car j’ai envie de pousser et de motiver l’équipe ». Il tire aussi sa force et sa motivation de ses proches.

Bien entouré
Alors qu’il regarde au loin vers les tribunes, sa future femme et sa fille de 4 ans Nataliya-Grace, sur son vélo rose, débarquent au stade. Sa famille reste toujours présente à ses côtés et lors des matchs. « C’est ma motivation sur le terrain. Avant chaque match, j’aime aller voir mes proches. Ils sont la raison pour laquelle je travaille dur sur le terrain, pour laquelle je veux réussir. Je veux la meilleure vie pour ma fille. Je sais qu’elle est très contente d’être ici en France. Je suis prêt à faire n’importe quoi pour elle », confie-t-il.
Son visage s’illumine quand il parle d’elles. Ce sourire communicatif et chaleureux, sa fille le porte également sur son joli minois. « J’adore ça. Elle est très belle et sûre d’elle, comme son père (rires) ».

Les supporters tiennent également une place particulière : « C’est important de venir les saluer, surtout avec les soirées dans le froid, de sentir leur présence. J’aime aller voir les gens, les remercier personnellement, mais j’évite les questions qui ne parlent pas de rugby ! », explique-t-il. Un soutien nécessaire à l’extérieur comme à domicile, et contre Albi tout particulièrement. « On doit juste jouer notre jeu, le mieux possible »

US Dax : Mières en pointillé

L’ouvreur argentin vit une saison marquée par de petites blessures qui freinent son envie de jouer.
Dans sa voix résonne la chaleur de ses origines argentines. Son français ponctué de quelques termes anglais s’explique par son parcours de club en club depuis ses débuts. Premiers pas en Argentine au Deportiva Francesa à l’âge de 6 ans, là où son père a débuté sa carrière. Durant sa jeunesse, Ignacio Mières souffrait d’une malformation des jambes, tournées vers l’intérieur. Ce handicap temporaire lui vaut son surnom actuel, « Cangu » (kangourou), car son père l’aidait à avancer en le portant sous les bras. Mais ça ne l’a pas empêché de continuer son ascension.

Jusqu’à ses 20 ans, il reste dans le pays qui l’a vu naître. La fierté en plus de porter six fois le maillot des Pumitas (équipe argentine des moins de 19 et de 20 ans) et des Pumas contre l’Italie et la France. Son talent est détecté et à 20 ans il s’envole pour l’Europe : il finit les trois derniers mois de la saison 2007–2008 avec Leicester, avant de rejoindre le Stade Français pour deux années. En 2010, il retourne en Angleterre à Exeter, où il a « beaucoup appris sur le rugby ». Il continue l’aventure anglaise en Premiership avec Worcester (2013–2015). Avec l’envie de revenir dans l’Hexagone. « Je voulais changer de pays, de culture. Le climat me convient mieux. Raphaël (Saint-André) m’a contacté. Il voulait que je rejoigne l’équipe de Dax ». Une ville où Ignacio Mières se sent bien. Presque comme chez lui.

Aider l’équipe
Depuis le début du championnat, la présence de l’ouvreur, parfois au centre, pèse moins que l’an passé (19 titularisations, 181 points dont 166 au pied). En cause, des petites blessures qui l’écartent deux à trois semaines des terrains, comme sa fracture à l’hypophyse contre Colomiers mais aussi les performances à l’ouverture d’Adrien Bau, « qui fait un bon boulot ». « Je me sens mieux. J’ai envie de jouer encore plus fort, d’aider l’équipe le plus possible. L’équipe, c’est le plus important ».

Son perfectionnisme le suit, doublure du buteur oblige. « On doit travailler. Je m’entraîne beaucoup, j’ai envie de m’améliorer tout le temps. Pour le jeu au pied, je le pratique 3 à 4 fois par semaine, seul ou avec d’autres joueurs ».
Pas question de jouer la carte de l’individualisme ou de l’arrogance, comme certains supporters tendent à le décrire. « Avant tout, je veux rester positif pour l’équipe. Certes, on reste tous individuels (sic) mais quand l’équipe fonctionne c’est le signe que tous les individus jouent bien ensemble, se mettent au service du collectif », présente-t-il. Bien qu’il ne se sente pas encore remis à 100 %, l’envie de jouer, d’être sur le terrain prévaut avec ce « bon groupe de copains ».

À Albi, il a effectué sa reprise par 30 minutes sur le terrain et un essai qui a évité à l’équipe d’être fanny (52–7). Contre Angoulême demain, il devrait encore gagner du temps de jeu. À presque 30 ans, l’ouvreur argentin sera encore Dacquois la saison prochaine, loin de sa famille, qui vient régulièrement en France le soutenir. Et, il faut l’espérer, toujours en Pro D2, alors que l’USD abattra une carte majeure pour le maintien demain soir face aux Charentais.

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guilhem écrit: écrit:

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Mouahahahahaha! Non, sans rire...

guilhem écrit: écrit:

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c est clair que niveau communication on a deja fait mieux. Le timming n'est pas terrible !

Une nouvelle preuve d'amateurisme et d'absence de savoir faire pour proposer un produit merchandising : les nouveaux maillots sont arrivés , il faut donc les vendre, peu importe le bon moment pour le faire !!

Une nouvel exemple pour ceux qui douteraient encore du besoin de renforcer en compétences les structures du club ...

guilhem écrit: écrit:

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On a la preuve que le forum est lu... comme par hasard, la page boutique est indisponible...

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