Bayonne gagne à Auch et le SF bat Albi |
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Bayonne s'impose dans un match serré à Auch (19-23) et semble donc assurer son maintien. Albi, en revanche, malgré trois essais marqués face au Stade Français, repart bredouille de Paris (43-20) (c'est bien çà)
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je viens de voir le résumé de jour de rugby... mais c'est quoi cette mêlée simulée à la fin de bayonne qui fait sortir 2 pilards non blessés :/
SCANDALE !
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je viens de voir le résumé de jour de rugby... mais c'est quoi cette mêlée simulée à la fin de bayonne qui fait sortir 2 pilards non blessés :/
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Malheureusement, l'IRB ne fera rien, car ils trouvent que seuls les français trichent (et ca ne m'étonne pas)... Donc, à moins de filer des sanctions sportives (un point en moins si tu sort tes piliers et qu'ils jouent le week end suivant), les règles n'évolueront pas
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oui, et peut etre que pour une fois, les bayonnais, dont beaucoup de supporters au moins sur bayonnais .fr sont des paranos envers l'arbitrage, ne vont pas trouver grand chose à redire. Maintenant, ils ont exploité une regle que tout le monde trouve debile mais qui existe. A ce moment du match , ils gagnaient, nous on était mené 16 à 7 à Auch, et on nous a donné une pénalité disosn tres genreiuse pour qu'on prenne un point (certes , il y avait eu l'essai de Mathieu refusé avant).Ils ont fait le boulot , puis ils ont exploité la regle. Ils se maintiennent en Top 14, bonne chance pour la suite.
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exact mais je pense quand même que les bayonnais se serait maintenu sans simuler à auchoui c'est triste d'en arriver à simuler les mêlées, bravos à bayonne qui on bien exploité cette régle cette année. L'an dernier c'étais avec les points de bonus , et encore une fois ils ceux sauvent en jouant avec les régles et non pas au rugby!! voilà un club qui s'adapte au rugby moderne lol!!! Mais je suis sur que mr blanco prépare dèjà une nouvelle régle pour empêcher cela!! Bonne chance aux bayonnais!!
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dans un tout autre registre que choureut mais dans le même style:
Pas vraiment réputé pour avoir sa langue dans sa poche, Patrick Sébastien ne mâche pas ses mots dans une interview publiée mercredi dans L'Equipe. Le président de Brive, revenu il y a moins de deux ans en Corrèze, s'inquiète pour l'avenir proche de son club, pas très loin de la zone de relégation, mais aussi pour l'avenir du rugby, qu'il dit ne plus reconnaître, notamment à cause des supporters qu'il voit dans les stades.
«Si on descend, c'est que je n'aurai pas été compétent en tant que président, attaque d'entrée Patrick Sébastien (Photo L'Equipe). On vit une saison de merde... Je tiendrai la barre le plus longtemps possible, mais si on descend, je ne vais pas m'accrocher. S'il y a échec, je l'assumerai personnellement.» Le président est clair : en cas de descente, il partira. Affirmation qu'il nuance cependant en fin d'interview : «Même en cas de descente, si M. de Richebourg (le propriétaire du club) me demande de rester, je le ferai.»
S'il n'est pas très clair sur son avenir, Sébastien l'est plus sur les raisons de la saison délicate du CABB, 11e du classement avec sept points d'avance sur Dax, premier relégable : «Au début de cette saison, nous n'étions pas prêts. En commençant à recruter fin avril, début mai, c'était trop tard ; je le savais. Cette année, on s'y est pris plus tôt. Si on se sauve, je suis sûr que la saison prochaine sera complètement différente avec les joueurs qui se sont déjà engagés chez nous : Mela, Henn, Idieder, Popham, Goode, Pic...»
Mais si l'homme de télévision est las, c'est aussi et surtout à cause de l'évolution du rugby : «Je suis effondré par ce que je vois dans les stades. On a de plus en plus de supporters qui ressemblent à ceux du PSG. Là, je vois de la haine, même chez certains dirigeants. Peut-être que je ne suis pas fait pour ce rugby. Il y a dix ans, ça n'était pas aussi violent, méchant... [...] Je crois qu'on subit un effet pervers de la Coupe du monde, qui a attiré dans nos stades des supporters différents. J'ai ét choqué. Ils remplissent les caisses mais je dis attention. Il faut que la Fédération et la Ligue réagissent.»
lequipe.fr
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dans un tout autre registre que choureut mais dans le même style:
Pas vraiment réputé pour avoir sa langue dans sa poche, Patrick Sébastien ne mâche pas ses mots dans une interview publiée mercredi dans L'Equipe. Le président de Brive, revenu il y a moins de deux ans en Corrèze, s'inquiète pour l'avenir proche de son club, pas très loin de la zone de relégation, mais aussi pour l'avenir du rugby, qu'il dit ne plus reconnaître, notamment à cause des supporters qu'il voit dans les stades.
«Si on descend, c'est que je n'aurai pas été compétent en tant que président, attaque d'entrée Patrick Sébastien (Photo L'Equipe). On vit une saison de merde... Je tiendrai la barre le plus longtemps possible, mais si on descend, je ne vais pas m'accrocher. S'il y a échec, je l'assumerai personnellement.» Le président est clair : en cas de descente, il partira. Affirmation qu'il nuance cependant en fin d'interview : «Même en cas de descente, si M. de Richebourg (le propriétaire du club) me demande de rester, je le ferai.»
S'il n'est pas très clair sur son avenir, Sébastien l'est plus sur les raisons de la saison délicate du CABB, 11e du classement avec sept points d'avance sur Dax, premier relégable : «Au début de cette saison, nous n'étions pas prêts. En commençant à recruter fin avril, début mai, c'était trop tard ; je le savais. Cette année, on s'y est pris plus tôt. Si on se sauve, je suis sûr que la saison prochaine sera complètement différente avec les joueurs qui se sont déjà engagés chez nous : Mela, Henn, Idieder, Popham, Goode, Pic...»
Mais si l'homme de télévision est las, c'est aussi et surtout à cause de l'évolution du rugby : «Je suis effondré par ce que je vois dans les stades. On a de plus en plus de supporters qui ressemblent à ceux du PSG. Là, je vois de la haine, même chez certains dirigeants. Peut-être que je ne suis pas fait pour ce rugby. Il y a dix ans, ça n'était pas aussi violent, méchant... [...] Je crois qu'on subit un effet pervers de la Coupe du monde, qui a attiré dans nos stades des supporters différents. J'ai ét choqué. Ils remplissent les caisses mais je dis attention. Il faut que la Fédération et la Ligue réagissent.»
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