Vous avez dû suivre les péripéties du BOPB qui réjouira certain et attristera les autres

En 2018, j'avais suivi l'arrivée de GAVE au pouvoir ne sachant pas qu'on allait retrouver
l'un des acteurs à DAX 6 ans plus tard.

J'avais d'ailleurs à l'époque fait une publication sur le forum

A l'époque, une société nommée ATSI ou A-Team Sports investments , holding
constituée par l’homme d’affaires-collectionneur Bruno Ledoux et le président du club
Benjamin Gufflet (tiens, tiens) avait servi de promontoire pour recapitaliser le BOPB
en grande difficultés financières.

L'objectif était de créer une régie publicitaire extérieure au club autour du BOPB afin de trouver des moyens de financement pérennes à long termes.

Pour des raisons complexes à comprendre, un tandem GAVE/ABIDGE avait pris la suite de LEDOUX/GUFFLET avec l'objectif complémentaire avoué par ABIDGE lors d'un interview de faire du fric et de revendre la régie publicitaire à créer pour faire une plus value à l'horizon de 5 ans, car GAVE qui habite à WHISTLEY à 17 000 kms de Biarritz ne connaissait pas BIARRITZ et voulait s'implanter en France pour développer des affaires.

6 ans plus tard, la régie publicitaire n'a pas vu le jour et le BOPB est à vendre mais pour un euro symbolique avec un passif à combler supérieur à 6 Millions d'Euros.

Si on écoute ABIDGE, l'origine du jet d'éponge est l'impossibilité d'avoir un stade susceptible d'amener une billetterie
suffisante pour vivre

Pour nous dacquois, alors que notre club s'est restructuré selon le même mécanisme économique que le BOPB à l'époque, il faut que des gardes-fous soient installés pour éviter toute mésaventure.

Il y a 2 théories dans la gestion d'un club de rugby :

La première est celle que l'USD RUGBY LANDES a adopté depuis 10 ans et qui a marché car nous sommes toujours debout.
L'inconvénient, c'est d'avoir en permanence l'obligation de reconstituer les fonds propres par l'apport en compte courant par les dirigeants afin de reconstituer le capital sans cesse entamé par les pertes.
C'est ce qui se passe actuellement à l'USD

La deuxième est d'intégrer un sponsoring dit d'affaire tel que celui que le BOPB voulait installer qui a échoué,
pourtant promus par les fédérations et qui a marché en foot et en Basket.
L'avantage est d'avoir une capacité d'autofinancement permanente pour investir en joueurs et immobilisations stades

Est-ce que nous sommes prêts à aller vers la 2ème théorie.
L'aventure vaut d'être tentée à condition que les institutions maitrisent la situation et soit capable de dire stop en cas de dérive.

Il y a une solution médiane plus sécurisée qui existe, en développant la publicité sponsoring pour le compte des partenaires non pas par l'intermédiaire de sociétés extérieures mais en interne à partir du personnel commercial de club.
J'avais fait valoir lors de mon passage en commission cette idée mais le dirigeant de l'époque
initiateur de l'idée des commissions n'avait rien compris.

Voilà quelques réflexions qui pourront être utiles pour la direction actuelle si elle nous lit et aux
lecteurs du forum pour information.

Merci beaucoup.