A2R

06 Jui 2025 21:25 #136648 par bruno
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Mais pourquoi le club nous parle des infrastructures dans le message ????
Juste pour nous dire, c'est pas juste, regardez ce que l'on a fait ???

La chute n'est pas un échec,L'échec c'est de rester là où l'on est tombé (Socrate)

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06 Jui 2025 21:29 #136650 par azerty
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Du goudron et des plumes ! Comme à l'époque du far west!

La direction va nous conduire à notre perte C'était écrit d'avance malheureusement pour nous.

Ils ont eu raison de virer les entraîneurs : on peut quand on est irréprochable.

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06 Jui 2025 22:49 - 06 Jui 2025 22:49 #136651 par Fly
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Mais pourquoi le club nous parle des infrastructures dans le message ????
Juste pour nous dire, c'est pas juste, regardez ce que l'on a fait ???


Je te rejoins, cet argument ne contredit en rien les raisons pour lesquelles cette sanction est appliquée.

Mais je crois que, pour l'instant, la Direction n'a pas d'autre moyen que de tenter de rassurer la plèbe en avançant des arguments en faveur de leur action auprès du club depuis 2 ans. Pas sûr que cela rassure la DNCG.

Rouge & Blanc Allez Allez Allez !
Dernière édition: 06 Jui 2025 22:49 par Fly.

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06 Jui 2025 22:58 #136652 par Fly
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Pro D2 : l’US Dax sanctionnée d’un retrait de points pour non-respect des dispositions réglementaires de la CCCP

Par Nicolas Azam - Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Publié le 06/06/2025 à 20h09.
Mis à jour le 06/06/2025 à 20h42.

La Commission de contrôle des championnats professionnels a sanctionné le club landais d’un retrait de 5 points fermes et 4 avec sursis pour la prochaine saison de Pro D2. Le club a déjà pris la décision de faire appel. Le président du conseil d’administration, Benjamin Gufflet, s’explique

« Une sanction très lourde, injuste et incohérente. » Ce vendredi 6 juin, le président du conseil d’administration de l’US Dax, Benjamin Gufflet, s’est exprimé sur la décision prise par la Commission de contrôle des championnats professionnels (CCCP) de retirer cinq points fermes et quatre avec sursis au club landais pour la prochaine saison de Pro D2. En cause, le non-respect des dispositions réglementaires et décisions de la CCCP.

Le club a déjà pris la décision de faire appel. « La Fédération française de rugby est souvent clémente. En appel, les sanctions sont, en général, retirées. On espère que ce sera le cas », poursuit-il. La CCCP reproche au club de mettre du temps à effectuer les recapitalisations nécessaires pour combler le déficit budgétaire du club depuis trois ans. « Il y a eu un facteur important avec la transformation ou non du conseil de surveillance et du directoire en conseil d’administration. »

« Le club avance bien. Il n’y a pas de problèmes d’argent à l’US Dax »

Certains actionnaires étaient visiblement dans l’attente de voir le devenir du club. Le président l’assure : « La date limite pour apporter les fonds était le 30 mai, ce qui a été fait. » Comme nous l’avions annoncé, une nouvelle augmentation de capital s’est déroulée dans le courant du mois de mai. Cela s’est traduit par une hausse de 600 000 euros, ce qui « a permis au club de finir la saison positivement ».

Les sept personnes qui ont participé à cette augmentation de capital font aujourd’hui partie du nouveau conseil d’administration (Benjamin Gufflet, Adrien Asteggiano, Thomas Médina, Xavier Ponteins, Emmanuel Coco, Jean-Bernard Mayé et Gérard Cazaux). Depuis son arrivée au club, il affirme avoir investi 750 000 euros avec son groupe, Stratton Oakmont. Et avec tous les actionnaires confondus, ce sont « entre 1 et 1,5 million d’euros » injectés. Le président du conseil d’administration a également rappelé l’importance de Philippe Jacquemain « qui aide beaucoup le club ».

« Stade obsolète »

Le club a peiné à terminer la saison à l’équilibre en raison « d’un emprunt à rembourser à hauteur de 400 000 euros par an pendant cinq ans pour les infrastructures ». « Aujourd’hui, le club finance les nouvelles hospitalités, les nouveaux salons, les nouvelles loges et la rénovation de la tribune d’honneur notamment. Nous sommes dans un stade obsolète et un des plus vétustes du monde professionnel », justifie Benjamin Gufflet. Les charges pour ces infrastructures vont encore s’étaler sur trois ans. Avant de se pencher sur le futur centre d’entraînement.

Annoncé lors des vœux de l’USD au début du mois de janvier, le président du conseil d’administration confirme que « le projet a été retardé pour des raisons de montages financiers ». Un projet d’environ 700 000 euros. « Nous allons le faire », certifie-t-il.

Par rapport à l’an dernier, il rappelle que « tous les feux sont au vert », que ce soit en termes de nombre de partenaires, d’abonnés ou de recettes en billetterie ou avec la boutique. « Le club avance bien. Il n’y a pas de problèmes d’argent à l’US Dax », rassure-t-il. « Pour l’année prochaine, nous avons monté un budget à l’équilibre – sans augmentation de capital – autour de 7 millions d’euros. »

Le club de la cité thermale reste encore en développement et en pleine restructuration depuis sa remontée en Pro D2. Benjamin Gufflet assure être désormais pleinement « focalisé » sur le club. Et il va en avoir besoin en raison des nombreux sujets brûlants qui agitent l’US Dax.

Rouge & Blanc Allez Allez Allez !

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07 Jui 2025 14:17 #136656 par Fly
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Pro D2 – Benjamin Gufflet (Dax) : “Insupportable d’être jugé par des gens qui n’ont aucune expérience dans la gestion d’un club de rugby”

Benjamin Gufflet, le président de l’US Dax, était particulièrement remonté en fin d’après-midi, après avoir appris que son club venait d’être sanctionné d’un retrait de cinq points pour la saison prochaine. Il explique, ici, pourquoi, avant d’évoquer le changement du mode de gouvernance à Dax, la séparation avec Jeff Dubois, et les pistes pour composer le nouveau staff.

L’US Dax a, cet après-midi, été sanctionnée d’un retrait de cinq points, plus quatre avec sursis. Qu’est-ce qui vous est reproché ?
La décision vient de tomber, je n’ai pas tous les détails. Depuis trois ans, nous avons des budgets finalisés par des augmentations de capital qui sont tardives. C’est le lot de beaucoup de clubs. Nous n’avons sûrement pas été assez rassurants ces dernières années. On a des budgets compliqués à tenir, même si on les tient. Pour preuve, on a encore réussi, cette saison, à finir la saison avec une situation nette positive, grâce à l’effort que j’ai réalisé avec les actionnaires qui m’ont rejoint au conseil d’administration. Nous sommes sept à avoir participé à une augmentation de capital. On verra en appel, exactement, ce qu’il en est. C’est une décision hyper brutale et incohérente au possible. Je vais peut-être lancer un pavé dans la mare…

Comment ça ?
Ces personnes, qui nous jugent, sont des experts-comptables qui n’ont aucune connaissance d’un club. Elles ne jugent que des chiffres, des chiffres et des chiffres. Il faudra qu’elles se rendent compte du boulot que l’on fait. Les présidents, on en a marre de cette pression infernale qu’il y a sur nos épaules. Il faudrait qu’il y ait une remise en cause de ce système très oppressant et qu’ils nous laissent un peu tranquilles. Un jour, il n’y aura plus d’investisseurs dans le sport. La conjoncture économique est très dure. On se bat, on met de l’argent, on transpire et nous ne sommes pas encouragés. Je suis en colère aujourd’hui. Je vais écrire au président de la Ligue, Yann Roubert, pour qu’il se pose les bonnes questions sur ces organes de contrôle, qui sont à deux poids deux mesures sur les clubs. Ils auraient plutôt intérêt à être impartiaux pour tous les clubs. Ce n’est pas un bon état d’esprit. Il faut que ça s’arrête.

Qui visez-vous ?
Ce n’est pas un secret, dans ces organes de contrôle, c’est à la tête du client ! Des clubs, aujourd’hui, ont des budgets qu’ils bouclent en mettant des dizaines de millions d’euros chaque année ou des millions d’euros. Ce n’est pas notre cas. Je ne vais pas rentrer dans les détails, cibler un club ou un autre. Ce n’est pas mon style. J’aurai une conversation assez franche avec le président de la Ligue. Dans mon courrier, je vais lui indiquer que tout ça doit fonctionner différemment. Ça devient insupportable d’être jugé par des gens qui n’ont aucune expérience dans la gestion d’un club de rugby. Ils font des boulots, certes respectables, mais ce serait bien que ces commissions soient composées de gens du milieu. Qu’il n’y ait pas que des experts-comptables ou commissaires aux comptes.

Des clubs bouclent, peut-être, leurs budgets à coup de 10 millions d’euros, mais ils comblent les trous pour ne pas avoir de sanctions…
Oui, mais regardez, Biarritz est en train de le faire. Nous, on l’a fait. Foutez-nous la paix ! Laissez-nous travailler dans la sérénité. Il y en a ras le bol. Peut-être que je suis le seul à le dire, mais il faut que ça s’arrête, que les choses changent. Sinon, un jour, il n’y aura plus d’investisseurs dans le rugby et le sport en général. En France, c’est une grande spécialité, on fait fuir les investisseurs. Il faut une remise en cause et des fonctionnements différents. Il n’y a pas de barème, les règlements sont très mal faits, pas de dialogues. Je veux bien, mais un jour, il n’y aura plus de clubs. Il n’y aura plus que des experts-comptables dans des bureaux, qui font des règles souvent incompréhensibles, en demandant des “sur garanties” chaque année. C’est de pire en pire. Je suis en colère et fatigué de tout ça.

Revenons, quand même, au problème dacquois… Que vous reproche-t-on concrètement ?
Qu’il y ait des oscillations de budgets. Depuis trois ans, on nous demande d’avoir des budgets plus stables, qui ne soient pas financés en partie par des augmentations de capital. C’est un aléa important, et je peux le reconnaître, de savoir si les actionnaires vont remettre de l’argent chaque année. C’est le cas au club. Ce qui est incompréhensible, c’est que peu importe de savoir si le budget est tenu ou pas ! Là, on a passé la ligne d’arrivée, au 30 mai, avec une situation nette positive. Il faut arrêter de nous sanctionner. J’aimerais bien les voir, à eux, tenir des budgets…

Quand l’USD a-t-elle été auditionnée ?
Le 7 mai.

À ce moment-là, vous n’étiez donc pas en capacité de tenir votre budget ?
Il y avait des questions sur la capacité à tenir le budget, des tas de choses ont été demandés et on a apporté toutes les garanties demandées sur la date, au 30 mai. On a fait ce qu’il fallait. Le club n’a pas de sanction de rétrogradation. Si le budget n’était pas tenu, il y aurait eu une rétrogradation. Là est tout le paradoxe et ça me met en colère. L’ironie de tout ça, c’est qu’on termine la saison positivement.

Combien manquait-il, le 7 mai, pour rentrer dans les clous ?
400 000 €.

Quel est le montant de l’augmentation de capital ?
Sur l’année, près de 700 000 €.

Qui a contribué à cette augmentation de capital ?
Mon groupe, Stratton Oakmont Sports, de façon importante. D’autres actionnaires, aussi, de façon importante. Ce sont les membres du nouveau conseil d’administration nommé lundi : Thomas Medina, Xavier Ponteins, Emmanuel Coco, Gérard Cazeux, Adrien Asteggiano, Jean-Bernard Mayé.

En début de semaine, vous avez opté pour un changement du mode de gouvernance. Pourquoi ?
Ça a été décidé par le conseil de surveillance, qui avait acté ça. C’était une demande de plusieurs actionnaires. C’est un choix qui peut faire sens pour que le club soit plus facile à diriger, plus agile. Des actionnaires souhaitaient entrer dans l’organe de décision qu’est un conseil d’administration. C’est pour ça que tous les nouveaux membres du conseil d’administration ont abondé dans l’augmentation de capital.

N’est-ce pas un moyen, aussi, d’écarter les “anciens” ?
Non et je n’aime pas ce terme. Je les appelle les sages. Je suis très attaché à eux, ils sont encore actionnaires et ont la possibilité de nous rejoindre au conseil d’administration. Il y a des tickets d’entrée pour entrer au “CA”, car le club a besoin de carburant. C’est une règle du jeu, qui a été mise en place. Je discute beaucoup avec eux, ils sont influents, toujours à nos côtés. Philippe Jacquemain est président d’honneur du club, c’est aussi notre sponsor majeur. Il fait beaucoup pour le club. Je suis venu dans un esprit de rassembler. Après, le club évolue, les besoins aussi, c’est un nouveau cycle qui démarre.

Le ticket d’entrée était-il à 50 000 € ?
Oui, c’est ça.

Ce nouveau conseil d’administration n’est-il pas un moyen d’avoir la mainmise sur le club ?
Encore une fois, le CA valide les décisions du quotidien. Le plus important, c’est l’assemblée générale des actionnaires. Aujourd’hui, à Dax, il y a une trentaine d’actionnaires. Leur parole est importante. On se réunira en AG chaque année, c’est ça le plus important. Il n’y a pas de mainmise, c’est un nouveau fonctionnement qui est en place, qui est réfléchi. Il doit être efficace et agile. Avant que je n’arrive, le club était déjà en conseil d’administration. Il n’a été que pendant deux ans dans une gouvernance bicéphale. Il n’y a pas de rupture, mais un changement.

Ces derniers jours, on a appris que Jeff Dubois ne serait plus le manager de l’US Dax la saison prochaine. Pourquoi ?
Encore une fois, c’est du gâchis. C’était important de trouver une pérennité dans la collaboration avec Jeff. J’ai lu beaucoup de choses, pas forcément agréables et fausses, mais ça fait partie du jeu. J’ai agi, pendant deux ans, pour que ça fonctionne du mieux possible et que Jeff ait les meilleures conditions pour réussir. On doit beaucoup à Jeff, à l’environnement du club, aux actionnaires, aux membres du staff, aux joueurs, aux partenaires. Encore une fois, Jeff n’était pas du tout visé. J’ai échoué dans le fait de faire comprendre à Jeff qu’il fallait du changement, lequel était important au vu de la deuxième partie de saison qui n’a pas été bonne. Nous avons été derniers sur la phase retour, plus mauvaise attaque, plus mauvaise touche… Il fallait faire évoluer les choses. Jeff a préféré ne pas honorer sa dernière année de contrat. Je respecte complètement cette décision. On est en phase de discussion pour que les choses se terminent le mieux possible. Ça a un coût, qui a été budgété avant le 30 mai. Il ne pèsera pas sur les finances du club. Maintenant, il faut trouver une solution de façon imminente pour ensuite amorcer l’avenir du club avec un nouveau staff en cours de constitution. La reprise est prévue au 30 juin. On se tournera ensuite sur le match amical prévu à Mont-de-Marsan le 21 août. L’an prochain, on recevra Mont-de-Marsan à Boyau en amical. Il y aura une étape du Seven à Dax en août, c’est intéressant. Le budget sera sécurisé pour la saison prochaine. On va garder sensiblement le même, et si tout va bien, on le tiendra sans augmentation de capital.

Vous avez dû faire une augmentation de capital pour tenir votre budget et vous allez devoir payer pour vous séparer d’un staff sous contrat. N’est-ce pas un peu paradoxal ?
C’est comme ça, nous ne sommes ni les premiers, ni les derniers. C’est un CDD, on ne va pas obliger Jeff à venir le 30 juin, ce serait contre-productif. Une page se tourne, je le regrette et lui souhaite le meilleur pour la suite. Je sais qu’il repartira sur de beaux projets. Pourquoi pas en Top 14 ?

Jeff Dubois a-t-il quitté le club via une prise d’acte de la rupture de son contrat de travail ?
C’est entre les mains des avocats qui se parlent. Mon seul souhait, c’est que ça se passe bien et que les deux parties soient contentes, que ça se passe dans la sérénité. C’est le cas. Jeff s’exprimera une fois que c’est acté. Je ne suis pas quelqu’un de conflictuel, j’agis dans l’intérêt du club et des actionnaires, dont je fais partie. On n’a pas réussi à trouver d’accord sur le mode de fonctionnement la saison prochaine. Je n’en suis pas responsable. C’est la fin d’un cycle, il faut se tourner vers l’avenir. C’est le sport.

Ne craignez-vous pas que cette histoire se termine devant le conseil de prud’hommes ?
Je ne vois pas pourquoi elle se finirait aux prud’hommes. Il n’y a aucune animosité de notre côté. Je ne crois pas qu’il y en ait du côté de Jeff. Ça ne m’enthousiasme pas, je pense que Jeff aurait aimé continuer avec d’autres conditions. La direction a souhaité des modifications dans son staff. Je pense qu’il y était favorable au début, puis finalement non et il a souhaité ne pas honorer sa dernière année de contrat. Moi, j’aurais aimé qu’il reste.

Vincent Etcheto sera-t-il le futur manager de Dax ?
Les discussions sont avancées avec Vincent Etcheto, mais tant que la séparation avec Jeff n’est pas actée, aucune communication ne sera faite. J’espère pouvoir annoncer le nouveau staff la semaine prochaine.

Qui seront les adjoints d’Etcheto ?
Ce n’est pas acté.

Félix Le Bourhis fait-il partie des candidats possibles ?
Oui, effectivement.

Le recrutement est-il terminé ?
Il est quasiment finalisé, il reste un ou deux postes à l’étude. On a déjà quatre recrues, on travaille encore sur deux profils : un centre et un deuxième ligne.

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